Le Jour de la Terre fut célébré pour la première fois le 22 avril 1970, quand un sénateur américain poussa ses étudiants à élaborer des projets de promotions de l’environnement dans leurs communautés. Chez STGM, c’est depuis 2001 que cette journée est soulignée d’une manière ou d’une autre.
Plus le temps passe, plus les impacts négatifs des changements climatiques nous apparaissent évidents. Nous n’avons qu’à penser aux chaleurs infernales, aux feux de forêt et aux inondations de la Colombie-Britannique, à l’ouragan Larry qui a touché Terre-Neuve, et aux inondations apocalyptiques en Allemagne.
Un des effets pernicieux des changements climatiques est l’apparition d’une nouvelle pathologie, l’éco anxiété. L’insomnie, le stress, la colère, la tristesse ne sont que quelques-uns des symptômes qui affectent les personnes éco anxieuses, principalement des jeunes. Le thème du jour de la terre de cette année vise à faire mieux connaitre cette condition qui affecte de plus en plus de gens à travers le monde.
Selon les experts, agir concrètement contre le changement climatique, que ce soit individuellement ou collectivement, permettrait de réduire les symptômes chez les personnes qui souffrent d’éco anxiété.
En architecture, travailler dans un environnement sain, réaliser des projets écoresponsables, participer à l’élaboration de projets de transport collectif, comme le Tramway, le REM ou le Métro, restaurer des bâtiments, ne sont que quelques exemples d’actions concrètes qui nous permettent, à travers notre métier, de participer jour après jour à la lutte aux changements climatiques et à la construction d’un avenir meilleur.
Collectivement ou personnellement, participer activement à la lutte aux changements climatiques et faire du bien à notre planète peut procurer un grand sentiment de satisfaction. Le jour de la terre, c’était hier, mais nous devrions faire en sorte que ce soit un peu à tous les jours.